J'avais appris sur Roller En Ligne qu'un petit bowl a été construit dans la ville de mes parents, à Bourgoin-Jallieu (Isère).
Du coup cet été, les rollers ont forcément été du voyage pour aller tâter ce terrain de jeu :-).

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Le spot est orienté skateboard, avec un bowl en 2 zones de profondeurs différentes mais faibles. Une bonne mesure pifométrique nous donne 1m20 d'un côté et 1m60 de l'autre.

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2 curbs larges et bas, un set de 4 marches avec un rail carré incliné central encadré de 2 ledges complètent le lieu.
l'ensemble est en béton, la zone autour des modules est très lisse et agréable à rouler.
A noter qu'il y a un point d'eau.
Voilà pour le descriptif.

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Passons maintenant aux choses sérieuses, comment c'est concrètement? Vu avec mes pieds de débutant.

Faut prévoir la wax! que je n'avais pas :-(
Que ce soit les copings du bowl, le rail ou les curbs, ça glisse très mal et le risque de se prendre un stop - eject en grind est assez conséquent surtout à faible vitesse.

Vu de loin le bowl est pas mal foutu. La partie la moins profonde peu faire office de mini (vraiment mini)  rampe, l'autre est plus circulaire. La transition entre les 2 profondeurs est douce.
Vu de près, le bowl est mal foutu. Des problèmes de finition viennent gâcher le tableau. Le coping ne ressort pas beaucoup et surtout de façon irrégulière. Les courbes manquent elles aussi de régularité et comportent même des bosses par endroits. Certes, on arrive à s'adapter après s'être fait surprendre les premières fois mais ça reste dommage.

L'ensemble est un peu petit et bas. En roller, un novice comme moi y trouvera son compte pour progresser, par contre quelqu'un ayant un peu de niveau va vite s'emmerder.

Fini de blablater, place aux images qui bougent avec ma pomme.

Je suis une brelle en bowl
envoyé par kyungjin16

Voili voilou.

Suite à ceci, je me suis mis à la sculpture, d'autant plus facilement qu'il y a un club à 200 mètres de chez moi.
Cela fait donc plusieurs semaines que je m'acharne sur un rectangle (ou plus précisément un parallélépipède rectangle, ou presque, mais vous allez pas pinailler) de pierre pour en essayer d'en sortir quelque chose.
Remarquez, je n'ai pu y aller que 4 fois pour l'instant.
Ce sont des moments vraiment reposant, pas physiquement parce qu'au bout d'un moment ça pèse le... tiens je sais même pas comment ça s'appelle la petite masse ronde qu'on utilise, enfin bref, ça pèse au bout du bras.
Mais moralement c'est très relaxant, on ne pense pas à grand chose d'autre quand on est concentré à taper sur son caillou en évitant de tout péter.
Voilà donc mon "oeuvre" à la fin de la première séance:

Il s'agit de faire un bas-relief, le truc pour débuter.

Et la même aujourd'hui, quatre séances et quelques heures de travail plus tard:

Ouais, ça avance pas très vite, mais ça avance.
Je sais pas trop encore comment je vais le modeler et je n'ai pas d'image en tête de ce que ça va donner à la fin. C'est pas plus mal, au moins je ne serai pas déçu du résultat :-)
C'est vraiment une approche particulière la sculpture sur pierre, le travail par enlèvement de matière. On doit un peu penser en négatif.

Voili voilou.

Pour Bookface.

Ce n'est que la 3ème fois que je me penche sur Janis Joplin, mais quand on aime on ne compte pas.
Et surtout je ne peux pas dire que j'étais satisfait des deux premières tentatives. Le sujet actuel sur Bookface m'a donc donné l'occasion de m'y atteler une nouvelle fois, et j'arrive enfin à quelque chose qui me plaise à peu près.

Je vous remets mes premiers dessins :

Tentative foirée de portrait il y a 4 ans.

un peu plus de 2 ans plus tard, quelques progrès sur Sketchfu.

Pour moi, Janis Joplin c'est l'énergie sur scène, la rage et l'émotion du chant. Je voulait retranscrire ça dans mon dessin.
J'ai pensé qu'un dessin à la plume serait adapté, avec ensuite des couleurs sommaires, vite faites, juste pour l'ambiance.
Voici donc mon dessin du jour, d'après la même photo que le premier ci-dessus et en m'inspirant des couleurs de la pochette de I got dem Ol' Kozmic Blues again Mama ! (la photo de référence étant en noir et blanc).

Encrage

Final, couleurs numériques

Vendredi 22 juin 2007

Blague à part, ma loute va bien, elle doit porter un joli collier en mousse pendant quelques jours, avant la prochaine radio de contrôle.
Va juste falloir la convaincre de reprendre le volant (non parce qu'en plus je voudrais pas qu'on rachète une voiture pour rien...)

Voili voilou.

Aujourd'hui, petite présentation de quelques videos de ma galerie.

One shot video contest

Le site free-map a organisé un concours de videos de roller freeride.
Vu qu'il ne demandait rien de techniquement compliqué, j'y ai participé, plus pour le fun de faire une video que dans le vain espoir de gagner (parce que vu mon niveau en roller et la qualité de la video, hein, enfin bon...).
C'est Aude (ma loute à moi) qui s'est collée derrière l'objectif, à savoir celui d'un appareil photo numérique en mode film. Voilà pourquoi la video tremble (pas de stabilisateur) et le cadrage n'est pas évident. J'accuse le matériel parce que si je dis que c'est Aude qui est nulle je vais m'en recevoir cinq à travers la tronche ;). Non, sans déconner, on a fait du mieux qu'on a pu avec les moyens du bord.

Brie et 18juin

Avec Aude on avait déjà évoqué l'achat d'un camescope, notamment pour faire des videos de roller.
Surtout après être allé voir la coupe de France de roller acrobatique à Andilly, et la frustration de ne pouvoir filmer les runs du style slalom en entier (video limitées à 35 secondes avec l'APN).
L'expérience du one shot video nous a poussé un peu plus, et on a fini par craquer.
Voici donc les 2 premiers résultats de cet investissement.
Bon, ne vous attendez pas à voir du gros niveau, on est tous plus ou moins débutant. Et puis on fait ça d'abord pour notre plaisir (le roller) et pour partager ça avec les copains (les videos). L'essentiel est qu'on s'amuse à faire ces petits montages :).

Voili voilou.

Au départ, je voulais juste parler de mes rollers, vous présenter le matos avec lequel je roule actuellement.
Et puis je me suis dit que je pourrais parler de mes premiers rollers aussi. Et puis raconter comment et pourquoi j'ai changé, et puis... Et du coup, je m'en vais vous conter ma vie de roller, mes débuts, mes progrès, mes joies, mes peines, mes amours, mes déchirures... euh, oui, non, ça va pas jusque là quand même!
Enfin bref, je vais vous parler de moi et du roller, en plusieurs parties parce que tout d'un coup ça risque de faire long, d'autant que je vous entends déjà en train de dire "mais qu'est-ce qu'il nous emmerde à raconter sa vie lui!". Ceci dit, un blog c'est un peu fait pour ça. Et pis personne ne vous oblige à me lire. Et pis je fais ce que je veux avec mon blog. Et pis je suis ici chez moi. D'abord.

Le commencement du début des origines

Tout commença au cours de l'année 2002, alors que je m'acheminait inexorablement vers mes 28 ans. Par une sombre nuit orageuse, une jeune fille nous exhorta, ma loute et moi, à rejoindre le peuple de ceux qui roulent sur leurs pieds. Sa force de persuasion était telle, que même l'esprit le plus fort ne pouvait lutter. Nous fûmes donc convaincu d'acquérir des rollers et de nous inscrire au club au crépuscule de l'été.

A l'époque, pour acheter des rollers à Angoulême, on avait le choix entre les supermarchés (beeeeeerk!), Décathlon et ... Décathlon. Entre parenthèses, aujourd'hui, on a le choix entre les supermarchés (rebeeeeeeerk!), Décathlon, Décathlon et... Go sport. Youpi yeah, on est super contents! Angoulême est une petite ville, les rayons rollers de ces magasins entreraient dans ma cuisine. Je ne mange pas souvent dans ma cuisine parce que c'est un peu petit... Bon, je ferme la parenthèse.
N'étant pas encore convertis, mais simplement dans une phase de curiosité, on ne voulait pas y mettre trop cher, on a donc opté pour des rollers Décathlon à 90 euros. Ils ressemblaient grosso merdo à ça, hormis les couleurs:

Je fais donc mes premiers tours de roues là-dedans. Je suis totalement vierge du roller. Je ne connais pas les différentes disciplines, je n'ai même pas idée de ce qu'on peut faire avec.
Mais plus le temps passe, plus je deviens accro. Cette secte m'a eu! Me voilà intoxiqué, et comme tout bon junkie, il m'en faut toujours plus.
Je me contente au départ des cours de rando, apprendre à avancer, à tourner, à reculer, à freiner. Et un beau jour, on apprend à sauter. Oh, pas bien haut, juste de quoi franchir de petits obstacles. Mais Rémi, le gourou de l'époque, place une barre à 90 cm, comme épreuve d'initiation.
Mon dieu! 90 cm! Mais c'est énorme! Cela me parait tellement infranchissable, que j'hésite longtemps avant de me lancer. Quand j'y vais enfin, j'ai la bonne surprise de ne rien faire tomber, même pas moi-même.
Grisé par ce succès, on élève la barre, un petit peu, puis de plus en plus à chaque nouveau passage réussi. Finalement j'arrive à passer 1 m 05, avec une technique à la "comme je peux", après maints essais ratés et pas mal de chutes.
Après cette expérience, je commence à fréquenter les cours d'acrobatique, où je découvre ce qu'on peut réaliser en se tordant les pieds autour de petits pots en plastique: le slalom!

A suivre... dans le prochain épisode, comment mes rollers Décathlon se sont transformés en Rollerblade

voili voilou.

Le mercredi 14 décembre avait lieu l'assemblée générale du CDRS 16 (Comité Départemental de Roller Skating de la Charente).
Le but de cette AG était de redémarrer un CD mis en veille prolongée depuis 2 ans.
J'y suis allé pour ma curiosité personnelle, et en tant que secrétaire du Fox Roller Club d'Angoulême, puisque ce sont les clubs qui constituent le CD.
Seulement, je n'avais pas imaginé les conséquences...

Après la désignation des membres du CA, est venue l'élection du bureau...
(toute ressemblance avec des personnages existants n'est absolument pas maîtrisée...)

Et bien entendu, j'ai été élu à l'unanimité.
Honnêtement, je ne savais pas du tout à quoi m'exposait cette fonction à cet instant.
Je verrai à l'usage, et je ferai de mon mieux. De toutes façons, je ne peux pas être plus mauvais que le président précédent... (où alors faut m'euthanasier direct!).

Voili, voilou.

Bon allez, ce soir un billet pour (re)présenter mes videos, visibles dans ma galerie
J'ai déjà présenté les premières ici.

Donc pour les autres:

Démo de rampe
Pendant les 24h du Mans, ont eu lieu des démos de rampe roller et BMX par le team Showtime

J'ai pu assister à la première d'entre elles.
J'en ai filmé quelques morceaux avec mon APN, donc désolé pour la qualité.
J'ai mis tous ces morceaux bout à bout et je vous livre ici le résultat brut de décoffrage.
Je suis pas un connaisseur de la discipline, je ne connais donc pas les riders, mais c'est du lourd :)
J'ai retenu qu'il ya avait Kevin Marron, Joachim Santi (pas dur vous me direz, on entend leur nom dans la video).
Il y a aussi Issam Tolba et Otto Bolano.
Enfin le mec en BMX qui s'appelle Ricky ... (si vous savez ce qui va à la place des pointillés, faites moi signe).
On voit pas tout bien, il y a quelques coupures pas top, mais bon, j'ai filmé ça à l'arrache et avec l'APN je pouvais pas tout prendre à la suite.

La dernière séance

Ca a été filmé lors de la dernière séance du Fox Roller Club d'Angoulême en salle pour la saison 2005, c'était le 25 juin dernier.
Comme d'hab' du slalom et pis un peu de saut (hauteur pure).

StYrieix

Ca a été filmé au plan d'eau de Saint Yrieix, à côté d'Angoulême, lors de séances du Fox Roller Club d'Angoulême.
Je rappelle que nous sommes tous plutôt débutants voire grands débutants.
Cette video n'est donc pas faite pour montrer du niveau (ah ça c'est sûr!), mais pour s'amuser un peu.

Un bêtisier...

Ben oui, avec des débutants en slalom, y a forcément des moments pas vraiment montrables que je vous montre quand même!
Voici donc quelques morceaux choisis des nos séances du Fox Roller Club d'Angoulême au plan d'eau de Saint Yrieix.
J'espère que personne ne m'en voudra...

Il y a aussi une video du Sauterelles' Contest 2005, les détails ici.

Voili voilou.

Dimanche 12 mars, le Fox Roller Club d'Angoulême organise un tournoi de Roller In Line Hockey amical mixte.
L'occasion pour moi de tâter de la crosse.
Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai essayé que 2 fois, je sens que ça va être folklo...
Allez, vendredi j'essaie d'aller à l'entraînement, histoire de...

Voili voilou.

J'ai pété mes rollers!!!

Enfin, bon, relativisons un peu, un petit bout de mes rollers...
En fait il m'est arrivé la même mésaventure qu'avec mes décathlon des débuts avec mes Fatty: un rivet de spoiler a décider de se barrer sur une réception de saut...

La semaine prochaine je dois faire une démo dans un lycée.
Dans 2 semaines le club de Thouars organise une compétition "cool" d'acrobatique à laquelle je compte bien participer en saut.
Va falloir que je m'habitue à sauter avec mes twister et c'est pas encore gagné vu mes essais d'aujourd'hui...
Dans un mois a lieu un stage de roller acrobatique organisé par le club des Sauterelles et auquel j'espère pouvoir aller. J'aimerais bien avoir trouvé une solution d'ici là mais c'est pas gagné: pas beaucoup de temps et faudrait aller sur Bordeaux où la Rochelle vu qu'à Angoulême y a rien, et quand on voit que les grandes surfaces de sport mettent 6 mois à fournir un axe d'un patin de fitness de grande marque...

Il a fallu que ça m'arrive maintenant. Ca aurait pas pu être 3 mois avant, quand y avait rien de spécial, non, ou attendre cet été, non plus. Faut que ça arrive maintenant, quand je voudrais pas m'en passer, et c'est ça qui me fout le plus la rage.

Voili voilou.

C'était jeudi et vendredi au club des Sauterelles à Saint Jean de Liversay (Charente Maritime).
J'y suis allé avec Sarah.
Un stage technique pour aborder et approfondir la pratique du saut et du slalom.
Au programme: accueil chaleureux, deux jours de bonne ambiance, d'échanges et de roller intensif, des nouvelles figures, des jeux, des spaghetti bolognaises soumises inexorablement à la loi de la gravitation universelle, des bouteilles d'eau qui volent, une prise de conscience douloureuse de l'existence de certains muscles (en particulier des jambes), du rire et quelques larmes avec malheureusement une entorse du genoux pour un jeune participant (Thomas, remets-toi vite sur pattes!)

Une magnifique photo prise par Sarah ou on reconnaît mon T-shirt du fox

D'autres photos sont visibles dans la galerie.

Voili, voilou.

Juste pour dire que j'ai changé de lunettes:

Passionnant hein?
Là j'ai une tête de crétin mais c'est fait exprès, je suis pas comme ça dans la vraie vie de tous les jours.
Qui a dit que j'étais pire???

Sinon, ça fait un moment que j'ai pas posté, faut dire que le Fox Roller (dont au passage le site à fait peau neuve) me prend pas mal de temps en ce moment, avec la rentrée et la préparation d'un évènement pour le 22 septembre.

voili voilou.

Cela va sans dire que les propos qui suivent n'engagent que moi.

Depuis le mois de juin, le Rotary Club Val de Charente et le Fox Roller Club d'Angoulême travaillaient à l'organisation d'une manifestation roller à Angoulême, comportant notamment une randonnée nocturne comme cela se fait dans d'autres villes autrement plus importantes comme Paris, Bordeaux, Lyon, Nancy, etc.
Cette manifestation devait se dérouler le vendredi 22 septembre.

C'était sans compter sur l'attitude rigide et la vision bornée de nos Institutions d'Etat.

La mairie nous avait d'abord dit qu'il était inutile de faire les démarches de déclaration auprès de la préfecture, que la ville fournirait toutes les autorisations nécessaires et suffisantes, simplifiant ainsi le processus.
Nous avons fait la grossière erreur de suivre ce conseil, puisque personne à la mairie n'a voulu prendre le risque de donner ces autorisations, et que nous nous sommes vu obligés de tenter une opération de la dernière chance à la préfecture à quelques jours de la manifestation.

Le chef du service concerné à la préfecture refuse de présenter la déclaration de randonnée à la signature du préfet.
Raison invoquée: les rollers sont des piétons, ils doivent rouler sur les trottoirs et emprunter les passages cloutés.
Notre manifestation va donc à l'encontre du code de la route. Un encadrement par les organisateurs n'est pas suffisant (on avait pourtant prévu motos, voitures, minibus balai, premiers secours, staffeurs). Il n'a rien d'officiel et ne permettrait pas une protection efficace. Il faudrait un encadrement et un accord des forces de l'ordre, avec blocage des rues par des barrières.
Où obtenir un arrêté permettant de fermer les 14 km du circuit à toute circulation .

On avait cru avoir pendant un long moment l'accord de la police nationale, avec mise à disposition d'au moins 2 motards. Mais 2 semaines avant la date prévue de l'évènement, on apprend que c'est le lieutenant qui était d'accord, mais pas son commandant. Adressez-vous à Dieu plutôt qu'à ses Saints...

Je suis resté un bon quart d'heure à "discuter" (entre guillemets car il n'y a pas eu à proprement parler moyen de discuter) dans le bureau du chef de service.
J'ai eu beau tenté d'expliquer le principe même du staff d'une rando roller, à savoir sécuriser les intersections lors du passage de la rando pour ne pas bloquer inutilement d'autres axes, j'ai eu beau préciser que c'est ce qui se fait partout et que ça se passe bien, le gars en face de moi est resté sourd à mes propos et fermement campé sur sa position, en substance: "je m'en moque de ce qu'il se passe ailleurs, si ces villes l'autorise ça les regarde, moi je ne cautionnerais pas d'infraction au code de la route."
Outre l'argument du caractère, je cite, "hors la loi", j'ai aussi eu droit au couplet dissuasif par la peur de la responsabilité.
Des choses du genre: "puisque vous ne fermez pas la route, si un mec bourré et/ou agressif en bagnole vous rentre dedans? Qui sera responsable, sachant que vous n'avez rien à faire sur la route?... Et si un roller tombe en se prenant les pieds dans une plaque d'égout qui dépasse, il pourrait attaquer la mairie ou la préfecture pour avoir autoriser la manifestation mais ne pas avoir sécurisé la chaussée..."
Je vous laisse juge...

Je peux vous dire que j'ai pris sur moi pour ne pas être irrespectueux et griller définitivement le roller auprès de ce brave monsieur .

J'ai voulu mettre en avant qu'un article du code de la route autorisait les piétons à emprunter la chaussée dans des cas particuliers (danger vis-à-vis des autres piétons, trottoirs impraticables). Malheureusement je n'avais pas le n° de l'article en tête (R412-35) et il n'avait curieusement pas l'air au courant, un comble au vu de sa fonction.

En écrivant ce billet je viens de penser que j'ai oublié de lui dire qu'à Angoulême, de nombreux trottoirs sont peu ou pas praticable pour les rollers: trop étroit, trop mauvais. De plus, quand les trottoirs seraient corrects pour des rollers, les voitures les trouvent aussi à leur goût et ont la fâcheuse tendance à s'y garer. Et je n'ai jamais vu un PV sur le pare-brise d'une voiture garée sur un trottoir. Pourtant le code de la route (art. R417-10) est clair à ce sujet. Par contre, si on oublie l'horodateur, alors là...

Notre seul espoir aurait été que la ville prennent l'entière responsabilité de nous laisser faire la rando sur la chaussée, ce qui n'a pas été le cas.

Juste après le circuit des remparts (stationnement interdit pendant 4 jours place de l'hôtel de ville, de vieilles voitures bien polluantes qui roulent pendant 2 jours en plein centre), Angoulême confirme qu'elle est une ville dédiée à la bagnole.
Le nouveau plan de circulation mis en place l'année dernière est clairement orienté pour la circulation automobile, facilitant même le transit par le centre ville, supprimant quasiment toutes les doubles voies à sens uniques, à l'opposé de tout ce qui à tendance à se faire en urbanisme.
On a même eu droit à de la pub municipale ventant la facilité à venir dans le centre ville en voiture, grâce au parcs de stationnement qui y sont présents (j'ai malheureusement jeté les tracts, promis dès qu'on en a à nouveau je les mets ici).
Evidemment, avec des moyens de transports moins encombrants et plus écologiques tels que le velo ou le roller, je ne paie pas de stationnement, je suis forcément moins intéressant financièrement...
Bon, je sais, je fais un peu d'amalgame là, mais j'suis énervé.

Il semble qu'il y ait quand même à la mairie quelques personnes ouvertes et motivées.

Le bilan de tout ça c'est qu'on reporte notre manifestation de plusieurs mois, le temps de digérer et de constituer un dossier tirant les enseignements de cette expérience.

En attendant, je vais me plonger profondément dans le site légi-roll.

Je sais que c'est une réaction idiote, mais ça me donne envie d'aller faire le con en ville tout ça...

Voili voilou.

Samedi 23 septembre était la journée nationale des voies vertes.
Ce fut l'occasion d'inaugurer la voie verte "Galope-Chopine" qui relie Barbezieux dans le Sud-Charente à Cleirac en Charente Maritime, et qui par conséquent est celle qui est la plus proche de nous angoumoisins.
Si on vous demande pourquoi elle s'appelle "Galope-Chopine", vous répondrez que j'en sais rien.

Cette journée fut donc prétexte à des randonnées organisées, que ce soit à pied, en vélo, à cheval et bien entendu en roller.  Nous avons pu apprécier à sa juste valeur l'enrobé neuf et bien lisse, ainsi que la largeur relativement confortable de la voie, par rapport à d'autres.
Nous étions un groupe d'une vingtaine de personnes courageusement matinales à nous être élancés de Chantillac pour parcourir 13 km jusqu'à Reignac, lieu de la cérémonie officielle, avec tout ce qui va avec: coupure du ruban, photos, discours, apéro...
Cérémonie à laquelle je n'ai pas assisté (diantre! j'ai raté l'apéro!) puisqu'avec Sarah et Josette nous avons fait le retour en roller vers Chantillac, pour revenir ensuite à Reignac en voiture. Ce fut non sans mal, puisqu'on a réussi à se perdre dans Baignes-Sainte-Radegonde. Heureusement se trouvait là une épicerie ouverte où Sarah et moi avons pu acheter quelques menues provisions pour notre repas du midi que nous n'avions pas prévu (en fait on pensait trouver quelque chose à manger sur place facilement mais c'était sans compter le degré de "paumitude" du coin).
Il n'était pas loin de 14h00 quand nous nous sommes enfin installés à Reignac pour engloutir notre pique nique.
S'en sont suivi deux séances d'initiation que j'ai encadré, avec l'aide (fort bienvenue) de Sarah en fin d'après-midi.

Cette journée fut plutôt réussie, avec une bonne fréquentation. Cette voie constitue une promenade agréable en campagne, et adaptée aux rollers. Des gens (associations, élus) se sont battus pour qu'elle existe, merci à eux.

Voili, voilou.

Mes photos de la rando dans ma galerie.

Le 1er octobre se déroulait le marathon des Herbiers, étape de la French Inline Cup.
Avec une grosse différence par rapport aux éditions précédentes:
l'épreuve se court sur un circuit en boucle d'environ 5km au lieu d'une seule boucle de 42km pour le marathon et 21km pour le semi. La course open comptait 6 tours (soit 30km si vous calculez bien) et le marathon réservé aux nationaux et élites 9 tours (45km, bravo, sans l'aide de la calculette!).

La première épreuve en arrivant sur place avec Benoît fut de trouver le village-départ qui avait changé de lieu. Rien en centre ville n'indiquait clairement le parking disponible pour les concurrents. Rien n'indiquait d'ailleurs qu'une manifestation d'importance se déroulait ce jour-à. En suivant les quelques (petites) pancartes mentionnant "roller skating", nous nous sommes d'abord retrouvés dans une zone résidentielle en bordure du circuit. Heureusement que Jacques arrivé plus tôt pour le challenge des enfants a pu nous guider jusqu'au fameux parking (parce que les gendarmes qui faisaient la circulation n'avaient pas trop l'air au courant, ou alors ils avaient pas envie de s'embarquer dans les explications).

Les enfants du Fox qui ont participés au challenge jeune comprenant une épreuve écrite (questionnaire sur la sécurité routière), un parcours d'agilité et une course de relais se sont donnés à fond pour remporter une belle 3ème place, sous la pluie et sur une route rendue bien glissante.

Heureusement pour les adultes, le soleil s'est montré et le vent a séché la route avant le départ de la course open à 13h30.
Vent qui est resté soutenu tout l'après midi, ajoutant une difficulté à un circuit bien technique, alternant des zones de graton pourri et des portions de chaussée lisses et bien roulantes, enchaînant les virages et les dénivelés. Par contre les pentes sont raisonnables, comparé à l'ancien circuit et sa fameuse côte des fossés à 17%, mais certaines montées coupent bien les jambes quand même.

Sur un plan personnel, après avoir repris rapidement la maîtrise de mes 5 roues que j'avais pas chaussés depuis les 24h du Mans début juillet, je suis parti (trop) vite, comme d'habitude, entraîné par le mouvement. Quand j'ai eu bouclé mon 1er tour en 11 minutes, la gorge desséchée et les pattes déjà cassées, mon corps m'a suggéré qu'il serait judicieux de lever le pied. J'ai aggripé une bouteille d'eau au ravitaillement placé peu après la ligne de départ/arrivée et poursuivi en gérant un peu mieux mon effort.
L'avantage d'une course sur circuit, c'est qu'après le 1er tour on sait où on peut s'économiser un peu et où on peut taper dedans.
Mais ça n'a pas empêcher mon repas, pris trop tard et trop copieux, d'avoir par moments envie de faire le trajet retour, sans toutefois aller au bout.
Au final, je termine en 1h10 et 3 poussières de secondes, énorme satisfaction pour moi qui tablait plutôt sur 1h20.

J'ai roulé à une moyenne de 25,18 km/h, contre 22,2 pour le marathon l'année dernière (bon d'accord, y avait 12 km de plus) et 21 km/h pour le semi-marathon il y a 2 ans (bon d'accord, j'avais 2 roues de moins et une platine plastique à l'époque).

Cette progression dans mes performances me convenant tout à fait, je vais continuer à ne pas m'entraîner ma foi...

En parallèle des courses, le club des Sauterelles à assuré quelques démo de slalom dont j'ai pris deux - trois photos visibles dans ma galerie.

Voili voilou.

L'article sur le site du Fox Roller.
Les photos dans la galerie du Fox Roller.

Mon boulot me permet parfois de voir des choses sortant de l'ordinaire.

La plupart des immeubles du centre ville d'Angoulême comportent des caves. Bon, jusque là, rien d'exceptionnel.
Mais certains présentent des souterrains insoupçonnés. Il y a d'ailleurs quelques histoires qui se racontent à ce sujet. J'ai par exemple entendu dire qu'à une époque reculée où trancher des têtes faisait partie du système judiciaire, le bourreau, pour sa sécurité personnelle, empruntait des galeries enterrées pour se rendre de son domicile à son lieu de travail.

Le propriétaire d'un immeuble, client de l'agence d'architecture où je travaille, a découvert un passage permettant de s'enfoncer sous son bâtiment. Curieux et passionné par ce qui touche à l'histoire et ses mystères ou plus modestement ses anecdotes, il a voulu en savoir plus.

Une entreprise de maçonnerie a donc dégagé l'accès des voies souterraines, et je suis allé en prendre les mesures pour dresser le plan.

Voici donc un aperçu de ce qu'on peut trouver plus de 2 étages en dessous du rez-de-chaussée d'un immeuble du centre-ville d'Angoulême.

Il est certains que ces portes devaient être ouvertes à une époque, et que le réseau se poursuit plus loin.

Sur cette arche, on peut voir des graffitis à l'ancienneté incertaine.

Qui est ce Jean Pelletier? Ce pourrait être le nom de l'ouvrier qui a construit cette voûte. Où un homme qui aurait séjourné là, pour se réfugier, ou enfermé contre son gré?
Les autres graffitis sont moins lisibles, mais sur l'un d'eux se distingue une date: 7 mai 1918.

Voilà de quoi faire courir l'imagination de notre client...

Voili, voilou.

Ce titre fait bien sûr référence aux autocollants qui pullulaient sur les lunettes arrières des voitures dans les années 90, et qui incarnaient le summum du tuning de mauvais goût.

Cela faisait un moment que ça me titillait, je suis passé à l'acte en piochant dans mes stocks pour jouer les Jacky du roller en customisant mes Seba FR.

Les ingrédients:

La préparation: Dépiauter un Seba FR en séparant les différents éléments. Conserver la coque, le spoiler, les roues et les vis de fixation de la platine.

Fourrer la coque du Seba FR avec un chausson de Crossmax, puis recoudre en passant un ruban à la place du lacet et remonter le spoiler.

On peut passer au montage de la platine Freeroad.
Le problème qui se pose est que malgré les 14 trous de fixations présents sous la chaussure, il est impossible de faire coïncider 2x2 trous pour le montage de la platine qui n'a pas un entraxe standard.
En effet, les espacements entre les trous sur la chaussure sont toujours identiques, ce qui n'offre pas des entraxes différents de quelques millimètres. Comme une image vaut mieux qu'un long discours:

Il faut donc jouer de la lime pour obtenir ceci:

Pour finir, monter les roues.
Petite cerise sur le gâteau, démonter la boucle d'origine (uniquement la partie avec la courroie) et monter à la place la boucle du Crossmax (au passage, merci aux boucles vissées et non rivetées!). Bon, là encore, les trous ne sont pas tout à fait en face, mais en forçant un peu ça passe au prix d'une légère déformation du trou dans le spoiler.
Pourquoi remplacer une boucle alu par une autre boucle alu, demanderez-vous? Et même si vous demandez pas, je vous explique:
j'ai constaté que le plastique de la boucle salomon est moins mou que celui de la boucle Seba, et la courroie est un peu plus étroite. En conséquence, papa rentre mieux dans maman si vous voyez ce que je veux dire et le serrage est plus facile et précis.

Enfin, répéter ces manipulations avec le deuxième pied.

Petit comparatif visuel

Dégustation

Chausser s'avère plus difficile que je ne l'aurais pensé car il n'est pas facile de bien ouvrir le chausson pour y entrer le pied. Une fois cette étape franchie, le laçage est plus simple puisqu'il n'y a plus à aller chercher sous le spoiler. Au final, c'est quand même plus rapide qu'avec le patin d'origine.
Le chausson utilisé est trop grand pour moi (1,5cm). Pourtant, je me sens tout de suite mieux tenu. La raison en est simple: le chausson est plus épais et rempli mieux la coque. Du coup, peu m'importe que mes orteils ne touchent pas le bout car je suis bien calé latéralement. Et question confort, par rapport à celui d'origine, y a pas photo. Et fini la languette qui tourne sur le côté, jusqu'à couvrir la malléole!

Les premiers tours de roues donne une sensation étrange au niveau de la cheville, entre impression de liberté et rigidité. En fait, le chausson n'étant pas lacé, il est assez lâche autour de la cheville mais dès qu'on entre en contact avec la tige, on sent le mouvement bloqué et des appuis fermes, en particulier devant (la géniale languette du Crossmax!) et derrière (hauteur conséquente). On s'y habitue très vite.

La hauteur un peu plus importante de la platine ne me pose pas de problème, même au contraire car les prises de carres sont plus aisées et les sensation en virage plus marquées. Ca donne une plus grande impression d'efficacité de la poussée (même si c'est certainement une fausse impression).

La hauteur du chausson à l'arrière est gênante en figures sur les pointes, ça fait limite mal au bas du mollet. Mais bon, je suis loin loin loin d'être un expert des figures impériales, et je n'ai pas l'intention de le devenir dans l'immédiat.

Au final, par rapport au patin d'origine, ça donne un roller plus confortable, autant réactif (voire plus car mon pied ne flotte plus du tout dans la coque), très agréable à rouler, à vocation freeride un peu plus affirmée je trouve même si je suis resté en 4x80 (de toutes façons avec mon 37 fillette...).
En bref, miam! c'est du tout bon!

Voili voilou.

La dernière tuerie sur un campus de Virginie a relancé le débat sur les armes à feu aux États Unis d'Amérique.
En européen censé et pacifiste, on serait tenté de penser que la solution réside en une règlementation stricte de la vente d'armes.
C'est oublier un peu vite que l'on parle du pays des cow-boys, de Charlton Heston et de sa N.R.A. et où le droit au port d'arme est inscrit dans la constitution par le fameux deuxième amendement: "Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit qu'a le peuple de détenir et de porter des armes ne sera pas transgressé".
Le pire exemple nous vient de l'Utah. Pour eux, la solution simpliste et appliquée depuis 2004: autoriser les armes dans l'enceinte de l'université.
Et accessoirement que les professeurs se forment au maniement de celles-ci (journal 20h00 de TF1 du 16 mai 2007, à 30'07 de la video) (attention, site "Microsoftien", IE et WMP ou bidouilles nécessaires pour voir la video).
Donc, n'importe quel élève peut venir légitimement armé en cours. Et s'il lui prend l'envie de péter une durite, il n'a qu'à chercher dans son sac entre ses livres et son coca, ou dégainer somme il sortirait son téléphone portable. Et il n'aura même pas besoin de se suicider, ses camarades et/ou profs se chargeront de le descendre.
Si ça continue comme ça, voilà a quoi vont ressembler les salles de cours là-bas:

Voili voilou.

Ça y est, cette fois on va pouvoir la faire, notre rando nocturne à Angoulême!
Enfin, pas vraiment nocturne, disons crépusculaire, vu que le jour devient couche tard en ce moment.
Ce sera ce samedi 16 juin, avec une après-midi d'initiation, démonstration, course, une soirée de randonnée avant de finir au barbecue.

Je vous avais déjà relaté nos déboire avec la préfecture de la Charente lors de la première tentative d'organisation de cette manifestation.
Tout de suite après, le Rotary Club Val de Charente et le Fox Roller sont remontés sur le cheval pour batailler à nouveau.
Ils se sont cette fois associé au comité de quartier de St Cybard et à leur fête.
Ils ont également pu compter sur un meilleur soutien de la ville d'Angoulême et de la police municipale, même si cette dernière les a lâchés à quelques semaines de la date finale.
Les deux autres communes (L'Isle d'Espagnac et le Gond-Pontouvre) sur le tracé de la rando ont à nouveau donné leur autorisation sans difficultés.
Le résultat sera une manifestation un peu moins ambitieuse au niveau roller que celle projetée initialement en septembre, car les activités de l'après-midi n'auront pas la même ampleur, et le lieux n'est pas le même. Par contre la randonnée reste quasiment identique.

Nous avons encore eu quelques angoisses concernant la rando avec la préfecture, mais elle nous accorde finalement son autorisation, ou plus précisément elle ne nous l'interdit pas.
Reste plus qu'à espérer que la météorologie lunatique de notre région soit de bonne humeur ce jour là.
Voili, voilou.

Vendredi 29 juin 2007, 8h00.
Je l'attends depuis de longs mois maintenant.
Leur arrivée est annoncée, je suis si prêt du but.
J'ai tout prévu. Cela fait 4 jours que je suis en planque devant leur tanière. Je suis arrivé le premier, avec tout ce qu'il faut pour survivre à une attente longue et difficile, par tous les temps.
Près de moi, d'autres chasseurs sont arrivés, petit à petit, au fil des jours et des heures.
Mais je suis le PREMIER. C'est moi qui les aurait d'abord!

Vendredi 29 juin 2007, 17h56.
Je commence à être sérieusement fatigué, mais je dois tenir. Selon mes informations, leur sortie est maintenant imminente.
d'autres chasseurs sont encore venus, auxquels s'ajoutent les curieux. L'excitation grandit, l'air se fait plus lourd...

Vendredi 29 juin 2007, 18h00.
Ça y est! Ils arrivent!
Je me précipite dans leur antre pour les capturer, j'en attrape deux!
Je ressors et suis accueilli en héros par les acclamations de la foule! Je brandis alors mes proies et salue ce public qui partage ma joie! Oui, j'ai été le premier à l'avoir, l'iPhone!

Greg Packer, vous connaissez? Moi non plus.
Mais cet américain vient de vivre ses 2 minutes de gloire mondiale en étant le premier à... acheter un iPhone, le téléphone mobile d'Apple.

Formidable, ne trouvez-vous pas?

Petit récit de la bêtise consommatrice, ou de l'abrutissement consommateur, ou comment être euphorique de claquer 600 dollars pour un téléphone portable en se faisant entuber bien profond par l'abonnement obligatoire à 60 ou 100 dollars mensuel chez un unique opérateur avec engagement de 2 ans.

Voili voilou.

Vous qui avez des pages persos chez Free, pensez bien à faire des sauvegardes de vos sites et bases de données!

Je m'en vais vous conter la mésaventure qui arrive actuellement au Fox Roller Club.
Notre site était donc sur un espace Free. Nous n'avions à ce jour pas éprouvé le besoin de passer sur un hébergement payant, bien qu'on y avait pensé.
Depuis Le 11 juillet dernier, en allant sur l'adresse http://fox.roller.free.fr, on se retrouve avec un serveur introuvable.
Et en allant chercher dans la console de gestion de Free, voilà ce que j'ai trouvé:

Sans plus d'explication.
Free a donc supprimé notre site, sans prévenir, sans qu'on sache pourquoi.
Le pire c'est qu'il semble impossible de refaire une page à l'adresse fox.roller.free.fr car si je demande à activer les pages perso, j'obtiens ce message:

Donc, voilà, on se retrouve sans site, sans possibilité de prévenir ceux qui tente de venir le visiter, sans recours, sans rien...

Voili voilou.

Mise à jour du 20 juillet 2007

Ça s'arrange un peu.
En fait, notre site avait apparemment été infecté et servait de départ de phishing.
Free nous a redonné l'accès au ftp ce matin. On va pouvoir récupérer les fichiers, avant de vider le site et mettre une page d'information.

Le roller me donne aussi l'occasion de reprendre le crayon.
Sur une idée quelque peu saugrenue de Julien, nouveau président du Fox Roller et responsable de la section RILH, j'ai planché sur le dessin d'un renard mangeur de palet-poule.
Je me suis fortement inspiré (pour ne pas dire repompé...) du dessin que nous avait créé Olivier Bonnehon et qui nous sert de logo, pour rester dans une certaine cohérence graphique.

Voici donc pour l'instant le crayonné de ce qui devrait (on l'espère) orner le prochain jeu de maillot tant attendu de notre équipe de Roller Hockey.

Voili voilou.

C'est le webzine de BD Bulle d'Encre qui a eu l'honneur de publier la première interview de Aude au sujet de son futur premier album, le volume 1 d'une série de 3 qui constituera l'adaptation du tour du monde en 80 jours de Jules Verne (scénario: Loïc Dauvillier, couleurs: Anne-Claire Jouvray).

Cliquer sur la bannière pour accéder à l'interview:

Voili voilou.

En novembre, le site BordeauxRiders en association avec le magasin Sensations Roller, a organisé un petit concours de photo insolite autour du roller.
Seb alias Imotep m'a proposé d'y participer, lui derrière l'appareil et moi devant.
On s'est donc fait une petite séance photo à Angoulême, après s'être creusé la tête à trouver des idées.
Les résultats, ou plus précisément une sélection de résultats, sont visibles dans ma galerie.

On a choisi d'envoyer celle-ci:

Malheureusement, à cause d'un petit problème d'incompréhension dans la transmission, notre photo n'a pas été prise en compte pour le concours, dommage.

Voili voilou.

A y est, la gomme de mes roues est allé tater le bois des modules du nouveau skatepark d'Angoulême (nommé "Centre des Cultures Urbaines" par une (ex) municipalité un peu trop grandiloquente).
Autant vous prévenir tout de suite, je ne suis absolument pas un pratiquant de roller agressif. Je me suis vraiment mis au park il y a 2 semaines, c'est-à-dire la première fois que j'ai mis les pieds, enfin, les rollers, dans celui dont je vous cause ici, avec ma paire de Fatty sur platines FSK (pas une platine d'agressif donc).

Mon avis n'est donc que l'impression d'un dilettante qui aime bien toucher à tout pour s'amuser.
Après ce petit préambule, passons donc à ce qui nous intéresse ici, ceci:

Le skatepark s'étend sur 1300 m² dans un bâtiment en structure bois. Une des façades est constituée de panneaux amovibles qui doivent permettre de l'ouvrir totalement.
Outre la zone de modules, on trouve un hall d'entrée avec des baies vitrées permettant de voir l'espace de pratique et au dessus de ce hall un balcon donnant aussi sur le skatepark. Il y a évidemment aussi des WC, par contre pas de vestiaire, les riders entassent donc leurs affaires dans un coin du park, un peu dommage dans une structure de cette importance.
Concernant les modules, on se retrouve avec un park plutôt polyvalent, où skate, roller et BMX arrivent à trouver leur compte. On a à disposition un bowl qui peut servir de mini rampe, un spine accolé au bowl, des plans inclinés, des courbes, des ledges, un rail carré, un rail rond, des tables avec courbes et plans inclinés, un wall, quelques marches...
Les modules sont tous en bois avec copings métalliques, sauf les angles du bowl qui sont en résine (ben oui, c'est une forme impossible à faire en bois), quelques ledges et les marches qui sont en métal.
Je trouve juste que ça manque d'un bon lanceur en face de la fun box, mais bon, y a de quoi s'amuser et l'affluence actuelle montre bien que l'équipement est apprécié (les photos ont été prises juste à l'ouverture, donc pas trop de monde encore).

Ce skatepark a ouvert le 14 février 2008. L'entrée en est gratuite.

Agrandir le plan

Les horaires - entrée gratuite (mise à jour janvier 2012):
Mercredi 14h00 - 19h00
Jeudi et vendredi 16h30 - 19h00
Samedi 14h00 - 18h00
fermé le lundi, mardi et dimanche.

Voili voilou.