kyungjin

Il va sans dire que chaque objet est unique, entièrement fabriqué par ses petits doigts boudinés mais néanmoins experts. Non, je déconne, ses doigts ne sont pas si petits que ça.

Et comme sa vie trépidante d'étudiante demande des finances en conséquence, elle vend ces objets pour une somme modique, il faut bien le dire. Mais elle s'exprime assez bien toute seule (oui, c'est pas toujours facile mais elle y arrive ) et elle vous donne elle même plus d'infos ici.

Voili voilou.

Retrouvez La Marguerite sur son blog.

En fait, cette journaliste est pour l'instant dans une école à Lille et elle effectue un stage en presse régionale à la "Charente Libre" donc. Son intérêt pour les blogs lui à fait découvrir celui-ci même que vous êtes en train de lire, et par lien celui de ma loute. Elle a décidé d'en faire un article.

La rencontre a eu lieu mardi après-midi. Le premier à arriver fut le photographe, un brin speed car il semblait avoir pas mal de sujets à couvrir. On a donc attaqué par la séance photo, avec des super mises en scènes hyper réalistes, et notamment celle-ci:
"Bon, Cédric, vous vous mettez devant l'ordinateur, avec Aude à côté et vous faites genre vous discutez d'une planche, et on va mettre des planches en premier plan sur le bureau (jusqu'ici ça va) et on va mettre les rollers sur le bureau aussi tiens (c'est là que c'est plus trop crédible...)", mais le but était d'illustrer tous les thèmes abordés en une seule image.

En plus on doit avoir de belles gueules de crétins, sourires figés et tout, espérons que la photo sera toute pitite dans le journal...

Le photographe parti, l'entretien avec Emma B. la journaliste a débuté (en vrai elle ne s'appelle pas comme ça mais c'est ainsi qu'elle se nomme sur son blog alors j'adopte ce nom ici). Ce fut une discussion agréable et détendue, sans barrières fixées d'avance car Emma B. ne savait pas elle-même par quel bout elle allait prendre son sujet. Elle a montré un réel intérêt pour ce qu'on lui racontait et dont de son propre aveu elle ne connaissait pas grand chose, que ce soit la BD, le roller ou certains aspects d'Angoulême (elle n'est ici que depuis un mois). L'avantage c'est qu'on est sûrs que nos propos ne pourront pas être déformés par sa propre vision des choses. Maintenant, il va falloir qu'elle fasse le tri dans tout ce qu'on a évoqué. On ne sait donc pas trop ce que tout ce mélange va donner au final, mais je lui fais confiance, vu son enthousiasme.

Voili voilou.

"Des ailes à la pensée", le blog de Emma B. où elle donne envie de lire des livres.

Cette année, contrairement aux précedentes éditions, la rando était programmée le matin au lieu de l'après-midi.
Malgré la tôtitude (oui, j"invente des mots quand je vois pas comment dire autrement) de l'horaire (9h30), j'ai réussi à être pile poil à l'heure au départ. En fait je suis arrivé au point de rendez-vous au moment où les derniers en partait.
Heureusement, car le parcours aussi avait changé, ça m'aura éviter de me perdre... C'est une rando d'une dizaine de kilomètres, tranquille, sans difficultés, passant par les routes de campagne autour de Jarnac.

L'avantage de réaliser la rando le matin, c'est que ça laisse du temps pour d'autres activités l'après-midi.
En l'occurence, un tremplin a été monté au bord de la Charente, le Robi Roller Club de Jarnac à sorti de vieux patins, et on a pu s'essayer gaiement aux joies du waterjump, fort bienvenues par la grosse chaleur qu'il faisait. Des BMX étaient aussi de la partie.

La video est dans ma galerie.
Il faut préciser que tous les rollers (à part moi) qui étaient là n'avaient jamais sauté en tremplin, et la plupart n'avait jamais sauté du tout. Vous ne verrez donc pas de grosses figures, juste quelques personnes qui s'éclatent bien.
En parlant de s'éclater, l'eau ça peut être dur quand on tombe de haut. Je me suis pris de bonnes claques sur quelques plongeons/réceptions foireux, et de beaux hématomes sur les côtes. Mais c'était vraiment trop bon (non, je ne suis pas maso).
Même si la sensation n'est pas celle à laquelle je m'attendais. Le tremplin n'avait pas énormément de pente et était placé en surplomb du fleuve. Du coup, on tombe plus qu'on ne saute, et la sensation d'envol n'est pas aussi forte qu'en high jump.
De plus, je n'avais aucune notion de où et quand j'allais atterrir (façon de parler). Ce manque de repères m'a empêcher de vraiment me lâcher pour tenter des figures.

Mais je recommence quand vous voulez!

Un grand merci à tous ceux qui ont organisé cette session!

Voili voilou.

De haut en bas et de gauche à droite: Rachel (accompagnatrice), Jeff, Thomas, Cédric, Jacques, Sarah, Arnaud, Stéphanie (accompagnatrice), Alexandra (accompagnatrice), tiens je le connais pas celui-là, Jeff, Franck, Rémy.

La sensation n'est pas la même que la première fois. Il n'y a pas le petit frisson de la découverte, l'excitation de tâter le circuit. On arrive en terrain connu et le premier objectif est de se trouver une bonne place au camping dès l'arrivée le vendredi soir.
Après une nuit courte car il y en a toujours pour foutre le bordel jusqu'à 4h00 du matin, il est tout de même autant agréable de se balader dans les tribunes désertes au petit matin, vers 7h30, de voir le soleil s'élever au dessus de la piste et d'apprécier ce moment de calme, un peu comme observer la plaine avant la bataille.
Personne de l'équipe n'a participé à la rando en ville. Ceux qui pensaient la faire ont été un peu découragés par les avertissements de ceux qui l'ont déjà vécu...
Le second objectif pour l'équipe arrive le samedi après-midi, et il s'agit là de se trouver une place dans les stands. Nous y parvenons après avoir poussé les Toulousains de Roulez Rose qui s'étaient bien étalés.

Sous un ciel bleu et un soleil de plomb se déroule la séance de qualification. Un coureur de chaque équipe effectue un sprint sur 300 mètres, le temps définissant la place au départ. A ce petit jeu, Franck "Frelon Vert" arrive 172ème.
J'ai été désigné pour prendre le départ, malgré mes rollers (chaussures de lighting 5) qui sont longs à chausser. Je rappelle que ce départ se fait sur le principe des 24h moto, les coureurs pieds nus d'un côté de la piste, les rollers de l'autre. Les premiers rejoignent les 2èmes lors du top. Une petite video du départ histoire de bien comprendre.

Ensuite, nous nous sommes relayés par groupe de 3, pendant une heure pour chaque groupe, ce qui nous faisait faire à chacun 2 tours par heure puis un repos de 2 heures. Et à partir de 22h00, un trinôme partait se reposer 4h00 pendant que les 2 autres se relayait à chaque heure. Je sais pas si vous voyez bien le principe mais c'est pas grave, Rémy explique ça très bien . Jacques qui ne pouvait pas beaucoup rouler pour cause de mal de dos s'est intercalé dans des groupes, surtout pendant la nuit.

Nous avions une équipe assez homogène, avec des chronos compris entre 8'30 et 10'30 au tour, qui fait 4km180. Mais l'essentiel est que chacun a donné le maximum, et personne ne peut se dire qu'il aurait pu mieux faire. Personnellement, j'ai été un peu déçu au départ de mes performances en légère baisse par rapport à l'année dernière avec des premiers temps en plus de 9'30. J'imagine que la chaleur doit y être pour quelque chose. Il faudra attendre la soirée et la fraîcheur pour que je redescende sous les 9 minutes.
En plus le ravitaillement en eau est toujours placé à la fin du circuit, autant dire qu'il ne sert à rien à la plupart des participants. Surtout qu'ils donnaient les bouteilles ouvertes, donc pas évident de la garder sans risquer d'en renverser au relais. Ce qui fait que la plupart buvaient 3 gorgées et jetaient la bouteille dans le dernier virage, bonjour le gâchis!

Comme l'année dernière, la nuit a été mon moment préféré, même si ce fut très rude sur la fin, étant dans le trinôme, avec Sarah et Rémy, qui n'est parti se coucher qu'à 6h00 du matin.

L'ambiance sur les 24h du Mans est particulière, les niveaux des coureurs sont très différents, il y a ceux qui sont là pour la gagne, ceux qui sont là pour rigoler et la grosse majorité comme nous qui sont là pour faire le mieux possible, sans aucun espoir de podium, mais juste pour la satisfaction de s'être donné à fond et de faire si possible une belle place au scratch (classement général). Mais tout le monde est dans la même galère, avec le même objectif qui nous rassemble: finir!
En plus cette année, le samedi soir était un soir de match de coupe du monde de foot, France-Brésil! Pour ceux qui comme moi n'en ont rien à faire, l'avantage était le gain de place pendant le match, tout le monde étant massé devant les télés. L'inconvénient était le bruit. Essayer de piquer un somme avec les commentaires excités de la télé plus les cris des supporters de base relève de la mission impossible. Et je peux vous assurer que même sans le voir, on a vite été au courant du résultat.

Heureusement que la programmation musical du week-end a été un peu plus agréable que l'an dernier, et surtout il n'y avait pas de baffles au niveau des stands, le niveau sonore était donc largement acceptable.

En ce qui concerne le concours de t-shirt, on n'a même pas été nommés dans les finalistes. Ca me blase un peu quand je vois certains des t-shirt sélectionnés, mais le gagnant est rigolo (c'est le rose avec le lapin).

Pour ceux qui veulent des chiffres, nous avons terminé 102ème avec 147 tours (Les résultats complets en pdf).
Pour ma part j'ai effectué 17 tour pendant ce week-end, soit environ 71km et tout ça pour pas avancer d'un poil railleront certains .
Par curiosité j'ai emprunté un gps sur un tour pour voir la vitesse que j'atteignais dans la descente: 45km/h, je suis un peu déçu je pensais taquiner le 50, mais y avait du vent de face hein...

On a terminé bien crevés mais bien contents.
Un grand merci à tous les accompagnateurs qui n'ont pas roulé mais qui nous ont soutenus, approvisionnés en eau et en bouffe, chronométrés, encouragés...

Voili Voilou.

Mes photos dans ma galerie

Les photos et videos dans la galerie du Fox Roller

Un point du règlement concerne la tenue des coureurs. C'est pas qu'il est interdit d'être à poil (quoi que... faudra que je relise pour être sûr) mais il stipule que l'ensemble des équipiers doit porter le même haut.
L'équipe dans laquelle je participe cette année étant très hétéroclite, nous ne pouvons nous rassembler sous les couleurs d'un club. Il nous fallait donc créer un maillot commun, avec un visuel spécifique pour l'évènement.

De plus, cette année est organisé un concours de t-shirt, dont le prix est le remboursement de l'engagement (50 euros par tête de pipe quand même!). Bien que je l'aurais fait pour rien, juste le plaisir d'avoir un chouette t-shirt dont je serais l'auteur,  voilà une motivation supplémentaire non négligeable.

J'ai donc proposer une idée, basée sur le doux nom de notre équipe "Brainless Riders" (pour les allergiques à l'anglais, ça veut dire "personne chevauchant un animal ou un moyen de locomotion à roues dépourvue de cerveau (la personne, pas les roues)")
Au départ j'avais imaginé faire un truc comme ça sur la poitrine:

Et ceci dans le dos:

C'est mon côté bande dessinée qui ressort, le lien entre les 2 images, le découpage en 2 séquences, l'ellipse, tout ça quoi...

Puis on a fait grandir et surtout évoluer l'idée (tiens ça me rappelle une pub... senecefe...), nourrie par les avis et remarques de chacun.
Pour aboutir finalement à ce dessin sur le devant du t-shirt:

et celui-là dans le dos.

Evidemment, si je m'écoutais et si j'avais eu le temps je recommencerais tout pour (essayer de) corriger tous les défauts que je n'avais pas vu (ou que je supportais) au départ et qui me saute aux yeux une fois tout fini (mais je me console en me disant que c'est le lot de pas mal de dessinateurs).
Ceci dit, je suis plutôt content de moi, et je constate que je suis pas trop rouillé des phalanges si je veux, en faisant des efforts.

Seul problème de dernière minute, le gars qui a imprimé les t-shirts n'a pas compris la haute subtilité du truc.
Il a dû se dire "ah ben tiens, ils sont trop bêtes, ils m'ont filé un dessin où que c'est écrit à l'envers! Bon ben je m'en va te faire un miroir et le remettre dans le bon sens....".
AAAARRRRRRRRRRRGH! Forcément, ça va pas rendre le même effet pareil! Non mais franchement, c'est si compliqué que ça à voir que c'est fait exprès?!? En plus il a pas voulu les refaire, soi-disant que ça serait trop long... grmph, purée j'suis vert...

Voili voilou.

Je récapitule:
3 consoles de salon:
1 - PS one
2 - Game cube
3 - Xbox

7 console portables!
4 - Une vieille Game Boy
5 - Game Boy Advance
6 - GP32
7 - Game Boy Advance SP
8 - DS
9 - PSP
10 - Et la dernière arrivée, DS Lite.

Mais je vous rassure, on ne passe pas notre temps à jouer. Et pour tout dire, c'est surtout la faute à ma loute si on a tout ça... D'ailleurs je ne compte pas la Super Nintendo qui est restée chez ses parents.
Remarquez, je préfère ça à 36 paires de chaussures

Voili voilou.

Ce week-end (3 et 4 juin 2006) a eu lieu la 6ème édition des 24 heures roller de la Faute sur Mer, les mal nommées puisque l'épreuve se déroule en réalité sur 12 heures.
Je rappelle le principe: une course en relais par équipes de 8 maximum, de 18h00 à minuit, puis de 6h00 à midi, sur un circuit d'environ 2 km.

C'était la 5ème participation du Fox Roller Club, et ma 4ème personnelle.
Nous y sommes allés avec 2 équipes. Une que l'on qualifiera de "sérieuse ou presque", entièrement masculine et dont le but est d'obtenir une place honorable dans le classement tout en se faisant plaisir. L'autre mixte, plus loisir, quand même là pour se donner à fond sinon c'est pas drôle mais aussi et surtout pour s'amuser, et dont le but est d'obtenir le prix du meilleur costume. Ce prix leur avait échappé l'année dernière malgré un magnifique look d'abeilles, au profit de Basques qui portaient une tenue à peu près traditionnelle (ils avaient un foulard rouge autour du cou quoi...). Ils avaient dû se contenter du prix du fair-play. Ils étaient donc bien décidés cette année à laver cet affront.

Et là les Basques n'ont eu aucune chance face aux lapins qui roulaient à la pile alcaline.
Nos rongeur l'ont remporté haut la main! Bon, c'était pas difficile puisqu'ils étaient la seule équipe vraiment déguisée. Ce qui n'enlève rien à leur mérite. Ces lapins avec leur pile dans le dos et leur carotte en guise de témoin de relais ont eu un franc succès auprès du public et des autres concurrents.

Sur le plan sportif, l'équipe 1 dont je faisais partie a terminé 22ème sur 79, en bouclant 156 tours soit 312 km en 12h. Vous calculerez vous-même la mirifique moyenne de 26 km/h. C'est une performance honorable vu que nous n'avons fait que 2 tours de moins que l'année dernière, mais avec une équipe globalement moins forte et moins entraînée (Luc, 13 ans, a d'ailleurs parfaitement tenu sa place, félicitation à lui!)
L'équipe "mort aux carottes" termine 53ème, avec 131 tours à la moyenne de 21,8 km/h. Pour des personnes n'ayant pas  l'habitude des épreuves d'endurance (et notamment quelques hockeyeurs) c'est plutôt une bonne performance!

Pour ma part, je suis très satisfait de ce week-end, tant au niveau de la réussite générale de l'évènement (super beau temps, organisation impeccable) que de mes propres performances.
Nous faisions des relais d'un tour chacun. J'ai bouclé chacun de mes 3 premiers tours en 4 minutes, soit une moyenne extraordinaire (en tout cas pour moi) de 30 km/h sur 2km. J'ai ensuite un peu faibli, montant à 4 minutes 10, et j'ai fini l'épreuve aux environs de 4 minutes 20 au tour, avec des jambes qui me paraissaient bien plus lourdes. Tout ça en roulant en solitaire pratiquement à chaque fois (il m'est m'arrivé que 2 ou 3 fois de pouvoir prendre la roue d'un autre coureur, j'ai vraiment pas eu de bol à ce niveau là cette année).
Il me semble que l'année dernière mes meilleurs temps tournaient autour de 4 minutes 30. Cela fait une belle progression. Ce que je ne comprends pas, c'est que je ne fais pas d'entraînement particulier pour ça. Peut-être que c'est grâce à mon nouveau casque. Ou alors ce sont mes petits trajets (et côtes) quotidiens en vélo qui font leur effet...

Mes photos sont dans ma galerie et d'autres sont dans la galerie du Fox Roller

Voili, voilou.

Depuis que je fais du roller, et en particulier du slalom, je me suis mis en quête d'un lieu où pratiquer dans Angoulême Et il faut dire que le choix n'est pas terrible (mais bon je suis peut-être trop exigeant, ou trop mauvais pour m'adapter)

• Les parking de supermarchés
  Ceux qui sont pas trop loin sont plutôt gratons, après faut aller sur les hyper mais c'est plus loin et pas très disponibles question horaires.
• La place Henri Dunant, devant l'école de musique
  Une place en dalle de pierre, pas immense mais suffisante pour s'amuser un peu, avec de légères pentes. Le seul problème sont les joints entre les dalles, juste assez grands pour y coincer la roue.
• La rue piétonne
  Refaite récemment en dalle de pierre, elle est toute en pente et dévers, et les joints peuvent être gênant, mais moins que devant l'école de musique
• La place Bouilleau
  Nouveau point central du réseau de bus, a été refaite récemment. Un excellent enrobé neuf, un peu en pente. Mais on ne peut vraiment squatter que quand il n'y a plus de bus...

Je m'étais résigné à ne point trouver la terre promise, et un jour en me baladant je tombe sur ça:

Je vous présente LE spot de slalom d'Angoulême. Ça se trouve au bord de la Charente, ce sont les chais de Magelis, ancien bâtiments rénovés, qui devaient recevoir un musée du cinema, il est maintenant question d'y déplacer le CNBDI. La voirie est neuve, et quand j'ai vu comment c'était, j'étais comme un gosse à Noël: "ouaaaaah, c'est trop bien! ouaaaaah, mais c'est nickel! ouaaaaaah, trop bon! ouaaaaaah, c'est trop cool! ouaaaaah! ouaaaaaaaah! ouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!" La raison de cet enthousiasme démesuré, c'est cette grande plateforme presque plate (juste un dévers sur la largeur) où j'ai posé mes plots.

Contrairement à ce qu'on pourrait croire vu la photo, le revêtement est bien lisse, c'est un genre de béton désactivé mais où les cailloux ne ressortent pas, et on dirait qu'il y un traitement de surface qui le rend plus glissant. De grands rectangles sont traités ainsi, séparés par des rangées de dalles de pierre. Le roulage est parfait, et les shuffles se balancent on ne peut mieux là-dessus. J'espère seulement que cet endroit sera toujours bien accessible lorsque le bâtiment sera en exploitation.

Aaah, si on pouvait avoir la même chose sur le futur champ de Mars!

Voili voilou.

Ce CD est estampillé "Copy Controlled".
Ce qui empêche sa lecture sur le poste CD un peu ancien dont ma loute dispose à l'atelier.
Par contre, ça ne m'a absolument pas empêché d'en extraire les morceau en mp3, le plus simplement du monde, avec iTunes.
A partir de là j'ai graver un vrai CD audio, que ma loute devrait pouvoir lire sur son vieux poste (en espérant juste qu'il prenne le CD-R)

Je pourrais tout aussi bien mettre mes mp3 en partage en P2P. Mais ce nest pas mon genre. Et puis on les trouve déjà sans problèmes.

Voili, voilou.

Je me dis que je vais essayer de m'y préparer un minimum.
Je vais aller rouler et courir histoire de travailler mon endurance.
Et si possible avant le 1er juillet...
Oui oui, j'y pense très fort...

Voili voilou.

Et voilà, je viens de passer 2 jours en roller là-dedans! Un sol parfaitement lisse et presque parfaitement plat, un véritable règal à rouler. Seule petite déception, ça ne glisse pas tellement et je n'ai pas pu me lâcher en shuffles.

Au niveau de l'animation elle-même, on a pas eu trop de monde, mais à chaque fois la fréquentation a été concentrée entre 16h00 et 18h00. En gros journée cool et paf! gros coup de bourre pendant 2h00 à gérer des groupes d'initiation et des patineurs plus confirmés qu'il faut canaliser.

Je pense qu'on aura quand même quelques retombées pour le club, vu l'intérêt de cetains.

Voili, voilou.

Le samedi est organisée le "Ludathlon", une épreuve basée (mais basée seulement) sur le principe du décathlon olympique moderne, avec des disciplines aussi variées que la natation, la course, le tir à l'arc, le basket, le rugby, le VTT ou même le lancer de charentaise...
Le comité départemental de roller skating sera présent par l'intermédiaire du Fox Roller Club, et propose une épreuve consistant en un petit parcours d'obstacle (slalom, petits sauts), ainsi que de l'initiation

La particularité de notre animation cette année est qu'elle se tiendra dans la patinoire de glace, mais sans la glace.

Nous aurons alors le plaisir de rouler sur une dalle en béton cirée parfaitement lisse et plate

Je vais me taper 2 jours d'animation, ça risque d'être un peu rude s'il y a trop de monde, mais j'ai hâte de tater cette surface idéale. J'espère qu'on ne m'en voudra pas si je laisse quelques traces de gomme...

Voili voilou.