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kyungjin
29 octobre 2008

Vais y aller!

C'est décidé, je vais aller au Sauterelles Project.
Histoire de m'aérer. Voir des nouvelles têtes et des passionnés de roller.
Je pense que je vais faire les shuffles, les jeux bien sûr, pis le saut d'obstacles.

Bon, j'ai pas trop d'entraînement vu que dernièrement j'ai limité les sauts à cause de mon pied mal en point.
Vais quand même essayer d'éviter de rééditer ce genre gaufre (Sauterelles Contest 2006):

Voili voilou.

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26 octobre 2008

Sauterelles Project

 

Comme tous les ans le club des Sauterelles à Marans (Charente Maritime) organise une compétition non officielle et fun de roller acrobatique. Cette année elle est renommée en Sauterelles Project mais le principe reste le même: des épreuves innovantes, hors des règles fédérales, un programme festif et certainement une bonne ambiance tout le week-end.

Ca va se passer les 8 et 9 novembre, et je me tâte encore pour y aller.

Le programme ici (pdf).
Mmh, je sens que je vais y aller...

Voili voilou.

24 octobre 2008

Mes p'tites BD chapitre 5

Je continue dans le déterrage de ma vie antérieure.

la guerre du feuLa guerre du feu
Réalisée à une époque lointaine où je fumais encore, elle part d'un constat simple: le feu, on en perd tout le temps mais on en trouve jamais.
Sinon, bah pas grand chose à dire, graphiquement ça casse pas des briques mais je crois que c'est dans ce que j'ai fait de mieux, et pour l'idée c'est surtout un délire anachronique. Cliquouille sur l'image pour voir la BD.

Voili voilou.

24 octobre 2008

Into the wild

affiche into the wild

Je viens de voir ce film de Sean Penn en DVD. Tiré d'une histoire vraie.

Une claque.

En le voyant, je me dis: putain, j'aimerais avoir le courage de faire comme ce gars, pouvoir tout plaquer pour vivre une conviction jusqu'au bout, partir seul, en communion totale avec la nature, se détacher de toute cette société et ses codes. Lâcher ce qui fait qu'on se maquille, qu'on se ment, qu'on se vend... Se retrouver seul face à soi-même, se retrouver tout court.

Et puis, après avoir vu le film, me voilà avec mon iphone (enfin, celui de mon boulot, je suis pas totalement fou quand même faut pas exagérer) dans les mains, face à la triste réalité de mon matérialisme primaire.

Et j'ai honte.
J'ai honte d'être attaché à ces babioles technologiques.
J'ai honte de voir les objets qui m'entoure.
J'ai honte qu'un bug informatique puisse me pourrir la vie.
J'ai honte d'avoir 2 ordinateurs, 2 voitures, 12 consoles de jeux, 6 paires de rollers...
J'ai honte mais je ne saurais m'en passer.
Alors faut assumer. Accepter que je suis moulé dans cette société de consommation et du paraître.

Et concernant la solitude, je retiendrais quand même cette phrase à la fin du film: "happiness only real when shared".
Le bonheur n'est réel que s'il est partagé.

Voili voilou.

PS: purée, je me rend compte que ça fait 2 billets de suite sur mes états d'âme, va falloir que j'arrête, ce blog part dans une direction foireuse... ou alors c'est moi.

23 octobre 2008

Proche de l'Ohio...

Je me suis amusé à faire ce test: quel héros de film es-tu? Oui bon, faut vraiment avoir envie de perdre son temps...
Résultat:
Forest_GumpForest Gump!
Je sais pas comment je dois le prendre...

Pis finalement, en réfléchissant bien, le petit gars gentil, serviable, naïf... mouais...
Me manque la fortune!

"La vie c'est comme une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber".
Ouais. Pis des fois les chocolats se périment, le bon goût sucré se transforme en amertume et toute la boîte est bonne à jeter.
Pourtant, on les trouvait bons ces chocolats, on aurait voulu tous les manger, mais il faut se faire une raison, faut pas se rendre malade. Ah mais là, je vois un petit bout à sauver, je vais me le garder bien au chaud (enfin, au frais parce que sinon il va fondre).

Vous comprenez rien à ce que je raconte? c'est normal. Ce billet à plus une utilité thérapeutique qu'autre chose.
Ouh là, mais il nous fait une petite déprime le kyungjin? Oui, non, peut-être, je sais pas...
Je n'ai pas l'habitude d'étaler ma vie sur ce blog, il n'a pas été créé pour ça, et rassurez vous je ne la prendrais pas.
Mais là j'ai des choses à sortir et je sais pas encore comment le faire. Alors dans l'urgence j'utilise ce moyen. C'est sans doute pas le meilleur, ni le plus intelligent, mais je ne sais pas qui lira ça et c'est ça qui me va.
Je réalise que je porte un masque en permanence, et que j'ai toujours eu plus de facilité à le tomber face à des inconnus ou presque, alors internet où on connait les gens sans les connaitre, pour ça c'est impeccable.

derrière le masque?

J'arrête là l'étalage et vais me chercher du vrai chocolat à bouffer en écoutant AC/DC à donf...

Voili voilou.

PS: pour ceux qui comprendraient pas le titre de ce billet

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21 octobre 2008

Courant continu

Mardi 21 octobre, 13 heures et des patates, je rentre chez moi pour récupérer un truc que j'ai oublié (normal quoi >_<).
Et en passant devant la boîte aux lettres, je me dis:

AC/DC black ice

"Asse Desse" est de retour! Et avec un album de 15 titres, une heure de bon vieux rock, voilà de quoi redonner des envies de air guitar en duck walk!

Bon, je ferais pas une critique approfondie car j'en serais bien incapable et pas très objectif, et pis y en a qui font ça mieux que moi.
Mais en bref:
- des riffs toujours accrocheurs
- une rythmique imparable
- un Angus Young bien présent
- un Brian Johnson qui part dans des registres inhabituels
Tout ça donne, passez moi l'expression, un putain de bon album! Et il va tourner en boucle un moment dans la voiture...

Dans l'ensemble les morceaux sont de facture relativement "classique" par rapport à la discographie du groupe période Brian Johnson. Mais il y a quelques surprises, quelques pépites qui se détachent du reste de la production d'AC/DC, je pense notamment au très mélodique "Anything goes", au son de slide de "stormy may day" ou au somptueux "rock n roll dream".
A l'écoute, on oublie que ces gars là ont plus de 50 voire 60 ans et ça surprend presque de les voir aussi vieux sur les photos du livret.

AC/DC a encore du jus (ah ah...) et c'est un nectar!

Voili voilou.

14 octobre 2008

Mes p'tites BD IV

Attention nouveauté! Si si, j'vous jure, voici une planche réalisée ce week-end!

une commandeOui, bon, en fait c'est pas vraiment de moi.
Il s'agit d'une "commande" qu'on m'a faite. Le demandeur avait un petit scénario à illustrer. Si vous comprenez rien, vous inquiétez pas, c'est normal, la chose est à usage familial.
J'ai dessiné cette planche un peu à l'arrache donc graphiquement rien de terrible (tiens, Dieu a le bras court...).

Mais alors, si c'est incompréhensible et moche, pourquoi je publie ce truc me direz-vous? juste parce que j'aime bien mon idée de Dieu avec un portable Apple... Oui je sais, je suis un peu geek sur les bords.

Voili voilou.

10 octobre 2008

Mes p'tites BD, 3ème édition

Voici de nouvelles planches à vous mettre sous la dent (clic sur l'image):

impasse Impasse:
encore un truc vieux de 10 ans. En revoyant le dessin, je le trouve vraiment pas terrible, et pourtant j'avais eu l'impression de m'appliquer à l'époque. Mais c'est bourré de fautes. Seulement j'aime bien l'idée.

sans titreSans titre (non c'est pas le titre, ça veut dire qu'y en a pas :P)
Légèrement antérieure à la précédente, un graphisme période "j'essaie de faire un truc pas net pour faire croire que c'est spontané".
Hum, l'extériorisation d'un vieux fantasme d'ado? sans doute...

Voili voilou.

8 octobre 2008

Sous la pluie et sur les rotules

Dimanche 5 octobre a donc eu lieu le Vendée Roller Marathon aux Herbiers, avec un ciel alternant entre pluie, averses, et ondées, sur un circuit entre ville et campagne de 10 km.
Je dois avouer que je ne suis pas très fier de ça:

diplome VRM

Voui, voui, 1 heure et demi pour parcourir 30 km, une moyenne d'à peine 20 km/h, je baisse le casque sur les yeux et m'en vais en traînant les roues...

Bon, c'était ma première course depuis 2 ans. C'était aussi la première de ma vie sous et sur la flotte. Ceci dit l'eau ne m'a pas trop gêné. J'appréhendais beaucoup avant le départ, ayant peur de la glissade fatale. Mais finalement c'est pas si difficile de rouler sur le mouillé. Sans pneus pluie on peut moins bien pousser en ligne droite et faut y aller mollo en virage, mais ça handicape moins que je ne l'aurais pensé.

Ce qui m'a vraiment été préjudiciable, c'est le manque total d'entraînement avant la course et de gestion de l'effort pendant.
Comme d'habitude, je suis parti trop vite. Après avoir apprivoisé le comportement sur sol trempé, j'ai lâché les chevaux. Seulement y avait 10 km de trop à faire. j'ai vu la ligne d'arrivée pour la deuxième fois (20 km) au bout de 52 - 53 minutes.
C'est dans le début du troisième tour, aux alentours de 22 - 23 km, qu'une barre à mine grosse comme ça m'est tombé sur la gueule (c'est une image).

coup de barre

Jambes tétanisées, vertiges, je me suis presque demandé si j'allais pas devoir arrêter car voir la route zigzaguer alors qu'elle est droite n'est pas bon signe. D'un seul coup, mon seul objectif n'a plus été d'essayer de réaliser un temps correct pour moi, mais simplement de finir.
J'ai donc tout relâché, laisser reposer les guiboles dans les descentes, souffert dans les montées avec l'impression très désagréable de faire du sur place. A ce rythme, j'ai mis pas loin de 40 minutes pour faire les 10 km de ce dernier tour.

Je suis forcément déçu, à la fois par ma contre performance, mais surtout parce que je ne me suis pas fait plaisir sur cette course. Enfin si, je me suis fait plaisir dans les 2 premières boucles, prenant cette première expérience sous la pluie comme un défi, mais la dernière impression qui reste est celle de la fin et c'est pas la meilleure.

Voili voilou.

Article sur le site du Fox Roller Club d'Angoulême.

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